Nos engagements
L'Amour de la Terre
Nous cultivons nos fraises sous serre non chauffée, un abri qui offre une protection essentielle contre les intempéries. Les grosses pluies, la grêle des orages d’été et les vents violents n’impactent pas nos cultures. La serre joue également un rôle naturel dans le maintien de la chaleur grâce à l’effet de serre : elle capte la chaleur de la journée et permet de la conserver un peu plus longtemps pendant la nuit.
Nous produisons nos fraises en culture hors sol, une méthode qui offre de nombreux avantages. Tout d’abord, cette technique améliore le confort de travail pour nous et nos employés, grâce à la hauteur des plants, évitant ainsi les positions inconfortables.
En terme environnemental, la culture hors sol permet une économie d’eau significative. De plus, les fraises en hauteur sont naturellement protégées contre de nombreux prédateurs, insectes et maladies.
Elles sont moins exposées à l’humidité et aux champignons, ce qui réduit drastiquement les besoins en traitements chimiques, rendant cette méthode à la fois efficace et respectueuse de l’environnement et de notre santé.
Pour lutter contre les nuisibles, nous privilégions avant tout la prévention grâce à une surveillance rigoureuse de nos cultures. Des contrôles visuels réguliers nous permettent de détecter rapidement d’éventuelles infestations de nuisibles tels que les pucerons, le thrips ou encore l’araignée rouge.
En complément, nous veillons à maintenir un environnement sain en ouvrant les serres pour éviter un excès d’humidité, limitant ainsi le développement de champignons et de moisissures.
Nos serres entourées de forêts, attirent des insectes prédateurs qui régulent les nuisibles de façon écologique, grâce à une riche biodiversité.
En cas de problème important, nous pouvons utiliser, en dernier recours, des traitements ciblés, généralement homologués pour l’agriculture biologique, afin de protéger nos cultures tout en respectant l’environnement.
En préventif, nous utilisons des méthodes naturelles comme les phéromones pour créer une confusion sexuelle parmi les insectes prédateurs. Notamment dans les tomates, afin d’éviter la prolifération de nuisibles comme la tuta.